Je fais parti de ceux qui ne supporteraient pas de vivre dans un lieu complètement impersonnel. Dans un lieu qui ne serait pas le reflet de son propre monde, de ses propres goûts, des ses passions. Il faut dire aussi que pour cela, mon intérieur est bien garni (un peu à l’image du fond de ce blog d’ailleurs)…
On aime ou on n’aime pas ! L’inconvénient est que forcément, ça ne plait pas à tout le monde. Mais être bien chez soi n’est il pas un passage obligé de l’épanouissement ? En fait, cette question, je ne me la pose car pour moi la réponse ne peut être que positive. Et ce début de texte me sert surtout d’introduction à ce qui suit…
Parce qu’il y en a une qui se plait bien chez moi. Elle ne me le dit pas mais je m’en rends bien compte qu’elle se plaît bien là ! Je lui rends visite tous les matins, lui parle un peu, lui demande secrètement si elle a bien dormi, lui indique qu’il fait jour maintenant mais qu’elle n’est pas obligé de répondre aux rayons du soleil et enfin, qu’elle peut restée bercée où elle est.
La journée passe et je ne suis pas là pour voir ce qu’elle fait, alors je l’imagine. A faire des allers et venues incessantes dans mes mètres carrés. A poser son regard et ses pattes sur les nombreux objets qui participent à ma décoration. Mais je l’imagine aussi accrochée à mes rideaux, à scruter l’horizon, se dire qu’aujourd’hui il pleut et qu’après tout, rester derrière mes fenêtres est confortable. Je la verrai bien également picorer les miettes non balayées sur mon bar de cuisine. Plus simplement, je la crois me faire des cachotteries !
Et vient le temps du soir. Ca y’est, je suis rentré, elle s’est rangée, remise à sa place mais jamais exactement de la même manière. Parfois un peu plus haute, d’autres fois plus avancée mais souvent blottie. Je la regarde et je suis amoureux ! J’espère qu’elle ne me quittera pas même quand viendra le temps des premiers bourgeons.
On aime ou on n’aime pas ! L’inconvénient est que forcément, ça ne plait pas à tout le monde. Mais être bien chez soi n’est il pas un passage obligé de l’épanouissement ? En fait, cette question, je ne me la pose car pour moi la réponse ne peut être que positive. Et ce début de texte me sert surtout d’introduction à ce qui suit…
Parce qu’il y en a une qui se plait bien chez moi. Elle ne me le dit pas mais je m’en rends bien compte qu’elle se plaît bien là ! Je lui rends visite tous les matins, lui parle un peu, lui demande secrètement si elle a bien dormi, lui indique qu’il fait jour maintenant mais qu’elle n’est pas obligé de répondre aux rayons du soleil et enfin, qu’elle peut restée bercée où elle est.
La journée passe et je ne suis pas là pour voir ce qu’elle fait, alors je l’imagine. A faire des allers et venues incessantes dans mes mètres carrés. A poser son regard et ses pattes sur les nombreux objets qui participent à ma décoration. Mais je l’imagine aussi accrochée à mes rideaux, à scruter l’horizon, se dire qu’aujourd’hui il pleut et qu’après tout, rester derrière mes fenêtres est confortable. Je la verrai bien également picorer les miettes non balayées sur mon bar de cuisine. Plus simplement, je la crois me faire des cachotteries !
Et vient le temps du soir. Ca y’est, je suis rentré, elle s’est rangée, remise à sa place mais jamais exactement de la même manière. Parfois un peu plus haute, d’autres fois plus avancée mais souvent blottie. Je la regarde et je suis amoureux ! J’espère qu’elle ne me quittera pas même quand viendra le temps des premiers bourgeons.
Je la garde en tous cas bien précieusement. Vous voulez que je vous la présente ? Oui. Non. Je ne sais pas… Allé ! Je me lâche, je vous la dévoile avant qu’elle ne les mette…les voiles…
PS : Il paraît qu’elle n’est pas seule ! Elle est accompagnée d’une jumelle et d’une punaise… (D'ailleurs, il faut croire que la jumelle a voulu être présente sur la photo, elle a pointé le bout de son nez quelques minutes auparavant...)
Finalement, il doit quand-même faire bon vivre chez moi…
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