Mots clés : Tableau OLBRACHT ; W. OLBRACHT
La seconde fois, c’était sur le site d’enchères aux quatre lettres. D’habitude, la page de résultat n’affiche que des livres du philosophe polonais de même nom. Mais là, il y avait une petite image en couleur.
Et toujours la surprise de découvrir l’œuvre, plus ressemblante à ce que je connaissais déjà, un paysage représentant un pont de pierres dans une vallée. Même si la peinture ne semble pas particulière, le choix des couleurs m’est déjà familier. Puis, toujours cette histoire de perspectives litigieuses. Il s’agit d’une huile sur bois. C’est la première fois que je croise ce support.
C’est quand-même une drôle d’impression, de voir revenir un objet inconnu jusqu’alors et qui a pourtant appartenu à la famille. Surtout que l’objet se trouvait au plein cœur de l’Auvergne, à plusieurs centaines de kilomètres donc de son acquisition. J’aime croire à cette idée que les objets eux aussi ont une vie, qu’ils voyagent avec leurs propriétaires. Que chaque chose dispose un jour de son moment de gloire ou de délaissement. J’ai trouvé cette peinture en 2008. L’année de réalisation est 1948 et si une personne l’a conservée pendant autant de temps, il doit bien y avoir une raison car après tout, c’est l’homme qui a le droit de vie ou de mort des choses…
En quelques sortes, le mouton est rentré dans la bergerie et cela fait plaisir de voir la collection s’agrandir. Par extrapolation, on pourrait même aller jusque dire - pourquoi pas -, que c’est l’homme qui en est l’auteur qui vit encore. Je ne parle pas de réincarnation et s’il fallait évoquer la métaphysique, je pencherai plus pour un sursaut dans une tombe de la petite commune de Furnes en Belgique…
Une partie de moi me pousse à suivre cette fiction tandis que l’autre l’emporte et me remets les pieds sur terre. Après tout, c’est de cette manière que se partage la vie non ? Entre rêves et réalité.
Si vous êtes en possession d'un tel tableau, n'hésitez pas à m'écrire sur
mon adresse mail
La seconde fois, c’était sur le site d’enchères aux quatre lettres. D’habitude, la page de résultat n’affiche que des livres du philosophe polonais de même nom. Mais là, il y avait une petite image en couleur.
Et toujours la surprise de découvrir l’œuvre, plus ressemblante à ce que je connaissais déjà, un paysage représentant un pont de pierres dans une vallée. Même si la peinture ne semble pas particulière, le choix des couleurs m’est déjà familier. Puis, toujours cette histoire de perspectives litigieuses. Il s’agit d’une huile sur bois. C’est la première fois que je croise ce support.
C’est quand-même une drôle d’impression, de voir revenir un objet inconnu jusqu’alors et qui a pourtant appartenu à la famille. Surtout que l’objet se trouvait au plein cœur de l’Auvergne, à plusieurs centaines de kilomètres donc de son acquisition. J’aime croire à cette idée que les objets eux aussi ont une vie, qu’ils voyagent avec leurs propriétaires. Que chaque chose dispose un jour de son moment de gloire ou de délaissement. J’ai trouvé cette peinture en 2008. L’année de réalisation est 1948 et si une personne l’a conservée pendant autant de temps, il doit bien y avoir une raison car après tout, c’est l’homme qui a le droit de vie ou de mort des choses…
En quelques sortes, le mouton est rentré dans la bergerie et cela fait plaisir de voir la collection s’agrandir. Par extrapolation, on pourrait même aller jusque dire - pourquoi pas -, que c’est l’homme qui en est l’auteur qui vit encore. Je ne parle pas de réincarnation et s’il fallait évoquer la métaphysique, je pencherai plus pour un sursaut dans une tombe de la petite commune de Furnes en Belgique…
Une partie de moi me pousse à suivre cette fiction tandis que l’autre l’emporte et me remets les pieds sur terre. Après tout, c’est de cette manière que se partage la vie non ? Entre rêves et réalité.
En Octobre 2020, je précise que mon mail alexandre . ryckman @ gmail . com (tout attaché) est toujours vailde ! Contactez moi si vous êtes en possession d'un tableau Olbracht. Merci par avance
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